Nous allons maintenant étudier les effets des différentes musiques sur les plantes. Il y a différentes techniques qui ont permis d'obtenir de nombreux résultats. Nous allons d'abords détaillé celle d'un physicien nommé Joël Sternheimer ( pour cela nous allons rappelé le phénomène de synthèse d'une protéine) et enfin nous allons étudier la technique Sonic Bloom.
1) La technique SRP à partir de la théorie
de Joël Sternheimer
C'est le physicien Joël Sternheimer qui est à l'origine de la technique SRP car il a découvert les ondes émises par chaque acide aminé.
Avec la technique SRP on cherche à créer des protéodies.
Avec la protéodie on s'intéresse au moment ou l’acide aminé se fixe au ribosome. Lorsqu’il se fixe, sa stabilisation provoque au niveau de la fixation, un comportement ondulatoire. C’est à ce moment que Joël Sternheimer à réaliser ses recherches. Il traduit en effet ce comportement ondulatoire en une « onde d’échelle » qui a par la suite été transformée par Sternheimer en une fréquence audible par l’homme. De plus chaque acide aminé, lorsqu’il s’accroche au ribosome, émet un mouvement ondulatoire différent, donc une onde d’échelle différente et donc un son différent. Joël Sternheimer a donc créé un code universel de notes dont chacune correspond à un des 20 acides aminés.
On sait qu'il existe 20 acides aminés dont chacun émet un mouvement ondulatoire différent soit une note spécifique pour chaque acide.
Il suffit donc de trouver la chaîne protéique de la protéine que l'on veux stimuler ou inhiber, on « traduit » les acides aminés afin d'obtenir une protéodie .
La technique SRP permet d'agir très spécifiquement sur la biosynthèse des protéines. Ainsi on peut agir :
- contre les maladies des plantes
- pour augmenter les molécules de résistances naturelles des plantes.
- en augmentant les matières actives des plantes
- pour augmenter le taux de sucre ou le goût de 5 à 50 % (par exemple sur les fruits, fraises, tomates...)
Mais il y a des risques avec cette méthode. En effet après la diffusion de protéodie dans la nature il peut y avoir des mutations génétiques ou des changements héréditaires d'organismes vivants, insectes, mammifères, plantes... Par exemple si une araignée entend des protéodies qui développe sa croissance, elle doublerait en taille et serais capable de mordre l'homme dangereusement. De plus certaine protéodie peuvent également avoir des effets indésirables sur les humains.
2) La synthèse d'une protéine pour la
technique de Joël Sternheimer
On a vu précédement que pour la technique SRP on s'intéresse au moment ou l’acide aminé se fixe au ribosome lors de la synthèse d'une protéine. Nous allons donc détaillé le principe de la synthèse d'une protéine
La synthèse d'une préotine est constituée de trois phases : la transcription, la maturation de l'ARN et enfin la traduction.
• De L'ADN à l'ARN pré-messager : la transcription
Il existe une molécule intermédiaire entre le gène situé dans le noyau et la protéine fabriquée dans le cytoplasme : l'ARN pré-messager. L'ARN (Acide RiboNucléique) est une molécule composée d'un seul brin. Ce brin est une séquence de nucléotides (à Adénine, à cytosine, à Guanine, à Uracil) et porte l'information nécessaire à la synthèse de la protéine.Chez les eucaryotes, une molécule d'ARN pré-messager est fabriqué dans le noyau par le processus de transcription de l'ADN grâce à l'enzyme ARN polymérase et de l'énergie. Cette synthèse se réalise grâce au principe de complémentarité des bases entre le brin transcrit de l'ADN correspondant à un gène précis de l'ARN pré-messager.
• La maturation des ARN pré-messager
Il existe un processus de maturation de l'ARN dans le noyau. L'épissage va ainsi permettre de supprimer des tronçons de l'ARN pré-messager (introns), les parties conservées sont les exons. L'ARN devient alors messager et est exporté vers le cytoplasme par les pores nucléaires. Il permet la synthèse de la protéine, c'est une molécule intermédiaire, une copie conforme de l'information source portée par l'ADN.
• De l'ARN messager à la protéine : la traduction
L'ARN messager est traduit en protéine dans le cytoplasme. Il s'agit d'une lecture par triplet de nucléotides. On appel code génétique le système de correspondance associant chaque triplet d'ARN à l'acide aminé de la protéine. Le codon initiateur est toujours AUG et la fin de la traduction est permise grâce à la présence d'un codon STOP. Les ribosomes, ateliers de synthèse des chaînes peptidiques, sont des organites cellulaires qui lisent l'ARN messager en codons. L'acide aminé correspondant au codon vient se lier aux acides aminés précédents. A la fin de cette traduction la protéine est créée et c'est durant cette traduction que les acides aminées émettent des ondes.
3) La technique Sonic Bloom
Cette technique consiste à diffuser des fréquences sonores particulières proches de celles des oiseaux.Ces fréquences permettent de stimuler la végétation en activant les cellules par des effets de résonances ce qui augment la croissance des plantes.
Ces fréquences permettent en effet l'accélération de la cyclose. Elles permettent également la stimulation de l'ouverture des pores sur le feuillage des plantes, plus précisement les stomates.
Le traitement Sonic Bloom consiste une diffusion de minimum deux heures toutes les semaines mais certains décident d'exposer les plantes tous les jours aux fréquences afin d'augmenter les effets de la musique.
Cette technique peut augmenter les récoltes de plus de 30 à 50%. Dans certains cas on peut même doubler à tripler la récolte et la vitesse de croissance. Tout en augmentant la matière sèche et la concentration en matières actives des fruits, légumes ou grains.
La technique Sonic Bloom est moins dangereuse que la technique SRP car elle ne peut pas entrainer une modification d'une protéine dans la nature mais elle est également moins fiable scientifiquement.